Diope

Neant

Depuis tout petit, ma mère m’a transmis sa passion pour le cinéma. Grâce à elle, j’ai eu la chance de faire plusieurs apparitions en figuration, notamment dans Bac Nord (cinéma), Plan B (TF1), Ronde de nuit, Marseille 2, et même dans des publicités, dont une diffusée sur TF1 pour un pneumologue. À chaque expérience, j’ai ressenti un peu plus que c’est dans ce monde-là que je veux vivre.

J’ai toujours aimé le cinéma. Enfant déjà, je me comparais à Damson Idris – un acteur avec qui on me compare encore aujourd’hui, parfois pour notre ressemblance, mais surtout pour l’énergie que je dégage. Je suis prêt à tout donner pour vivre de ma passion, parce que pour moi, réaliser ses rêves, c’est donner un vrai sens à la vie.
Comme Rousseau l’a si bien dit : « Malheur à qui n’a plus rien à désirer ».
Moi, j’ai ce feu en moi. Je désire, j’espère, et surtout je me donne les moyens.

À côté de ça, je suis très actif physiquement : je pratique le football (où je suis capitaine de mon équipe) et la musculation. Je parle trois langues : le français, l’anglais et le bambara. Je suis à l’aise à l’oral, ce qui m’a valu d’être plusieurs fois délégué de classe. Je sais gérer la pression, les responsabilités, et je ne lâche jamais l’affaire quand j’ai un objectif. Si je tombe, je me relève. Si je n’y arrive pas, j’essaie autrement. Mais j’y arrive.

Je suis une personne adaptable, capable de faire rire, de m’énerver (dans un rôle bien sûr), de transmettre de la tristesse ou de l’émotion… Je joue avec sincérité. Ce que je veux, c’est apprendre, progresser, et surtout vivre pleinement chaque moment que le cinéma peut m’offrir.